La SEP : maladie du 21ème siècle

La sclérose en plaques est une maladie fréquente qui atteint surtout les femmes pendant leur vie active (vers 20 à 40 ans). Elle touche surtout les pays industrialisés et mérite vraiment attention. C’est une affection auto-immune, car les anticorps s’attaquent à un type de neurones du système nerveux central. Les causes de cette maladie sont multiples. On peut être atteint de la SEP si nos gènes sont susceptibles de surréagir à l’immunité. L’exposition à certains virus durant l’enfance, le manque d’exposition au soleil et par conséquent le manque de vitamine D, le tabac, le surpoids, le manque de contamination par les bactéries et les parasites durant l’enfance sont des facteurs d’apparition de la SEP. Les manifestations de cette altération sont : une sensibilité exagérée à la chaleur, le trouble de la vue, une inflammation de la moelle épinière, la surdité, la perte de contrôle sur de nombreuses fonctions du corps qui engendre surtout la fatigue. Des traitements pharmaceutiques sont disponibles pour venir à bout de ces troubles sauf pour la fatigue.

Comment agit la cryothérapie sur la SEP ?

La cryothérapie influence le contrôle des fonctions du corps comme le rythme cardiaque, la sudation, la respiration, la température, les éléments dans le sang, le trouble de l’humeur. De ce fait, elle est vraiment intéressante. Il y a plusieurs types de cryothérapie, mais celle qui convient le mieux pour traiter la SEP est le port de veste Cryothérapique. Cette technique est moins coûteuse et abordable pour les patients. Elle consiste à mettre un gilet dont les poches sont remplies de gel thermosensible froid ou de packs de glace. Cette veste diminue la température corporelle de 5 à 6°C pendant une heure. Cela va déclencher le réflexe de lutte contre le froid extrême et stimuler le corps. Concrètement, la cryothérapie va ralentir le métabolisme, agir sur les muscles. Elle diminue aussi la douleur, les inflammations, les spasmes et la fatigue.

Les différents types de mal de dent

Le mal de dent peut survenir sans prévenir et être très intense surtout durant la nuit. Cela est souvent dû à une affection des dents ou des gencives. Avant votre rendez-vous chez le dentiste, vous devez donc prendre un médicament pour le mal de dent pour soulager la douleur. Quant au rendez-vous chez le dentiste, cela va permettre d’établir un diagnostic et de prodiguer les soins qui sont nécessaires.

En fait, les causes d’un mal de dent peuvent être nombreuses et différentes d’un individu à un autre. La gingivite, l’inflammation du tissu rattachant la dent à la gencive, une prothèse dentaire mal adaptée sont autant de raisons pouvant être à l’origine d’un mal de dent. Pour une douleur causée par une carie par exemple, si les affections ne sont pas soignées, ces dernières peuvent entraîner la destruction ou la chute des dents.

Comment reconnaître les symptômes des maux de dent ?

C’est l’origine du mal de dent qui permet d’en déterminer les symptômes. Ainsi, les maux de dents peuvent s’aggraver par le toucher, les aliments chauds ou froids ou encore sucrés ou acides. Un mal de dent peut donc être aigu ou sourd. Vous pouvez avoir des troubles du sommeil ou ressentir des douleurs au niveau de vos gencives. Ces dernières peuvent devenir rouges ou encore gonflées.

Quelles solutions pour soulager un mal de dent ?

Pour soulager rapidement la douleur, vous pouvez prendre un médicament ou utiliser des méthodes de grand-mère. En effet, il peut être pénible pour une personne malade d’attendre le rendez-vous chez le dentiste pour soulager son mal de dent. Cependant, il est important de vous renseigner pour savoir quel type de médicament et la dose que vous devez prendre. Vous pouvez soit contacter votre dentiste ou encore demander au pharmacien le médicament le plus adapté selon les symptômes que vous ressentez.

Le diabète de type 1

Le diabète de type 1 ou diabète insulinodépendant se produit lorsque le pancréas ne produit pas assez d’insuline. Il apparait généralement chez le jeune adulte ou l’enfant, parfois il peut être présent depuis la naissance.
Le diabète de type 1 est une maladie auto-immune. Il se caractérise par la présence d’auto-anticorps anti-cellules bêta dans le sang. Autrement dit, des anticorps qui détruisent les cellules bêta, cellules responsables de la production d’insuline, du pancréas.
Le diabète de type 1 se manifeste par une diurèse abondante, une soif excessive, une grande faiblesse physique. Une augmentation anormale de l’appétit qui contraste avec un amaigrissement rapide (plutôt graisseuse que musculaire).
Une personne qui souffre du diabète de type 1 a un taux de glycémie supérieur à la normale. De ce fait, elle est plus sensible aux infections, principalement aux infections urinaires.

Le diabète de type 2

Le diabète de type 2 ou diabète insulinorésistant se produit lorsque l’organisme n’est plus capable d’utiliser efficacement l’insuline. Or l’insuline sécrétée par le pancréas est de taux normal. Il touche habituellement les personnes d’âge mûr.
Le diabète de type 2 est favorisé par des facteurs environnementaux, tels que le surpoids, l’obésité abdominale, la mauvaise alimentation et l’insuffisance d’activité physique. Et des facteurs génétiques, car plusieurs gènes sont impliqués.
Tout comme pour le diabète de type 1, une personne atteinte du diabète de type 2 souffre de polyurie et d’hyperglycémie. Mais à la différence de ce premier, les symptômes et les complications n’apparaissent que tardivement quand la maladie est à un stade évoluer.

Les formes non classées de diabète sucré

Il existe de nombreux autres types de diabète sucré, mais ils sont relativement rares. Il y a par exemple le diabète néonatal et le diabète gestationnel qui est le plus fréquent.
Le diabète gestationnel apparait soudainement chez une femme non diabétique lorsqu’elle tombe enceinte. Il est caractérisé par une intolérance au glucose due à la production d’hormone placentaire qui provoque une insulinorésistance entrainant une hyperglycémie.

Créer un environnement positif

L’environnement joue un très important rôle dans la productivité d’un employé. Vous devez donc créer un environnement ouvert et positif pour encourager vos employés. Vous pouvez aussi organiser des séances de massage au bureau. C’est une nouvelle tendance en entreprise qui a fait ses preuves. Ce type de massage permet aux employés de combattre le stress et d’être plus détendu. Ainsi, ils peuvent être plus productifs qu’avant et vos employés seront reconnaissants.

Plusieurs massages peuvent être pratiqués au bureau comme le massage AMMA ASSIS provenant du Japon. Ce type de massage utilise l’acupression et il peut se pratiquer même assis sur un bureau. Le salarié sera massé au niveau de la tête, e la nuque et du dos pendant une quinzaine de minutes. Il y a encore d’autres types de massages au bureau mais tout dépend des envies de vos employés et des équipements disponibles. Il faut savoir qu’un massage en entreprise peut être accompagné d’autres services comme des ateliers de relaxation, des séances de luminothérapie, etc.

Bien définir la fiche de poste de chaque employé

Pour améliorer la productivité de chacun de vos employés, pensez à bien définir leurs responsabilités respectives. Avoir une définition claire des tâches et de leurs échéances permet d’accomplir plus rapidement le travail. Ainsi, chacun des employés peut effectuer un examen de rendement ou un compte-rendu personnel de la réalisation de ses tâches. Ils peuvent ainsi mesurer leurs progrès et apporter des solutions aux éventuels blocages. Aussi, vos employés seront capables d’expliquer leur travail et les objectifs de votre entreprise.

La musique pour un meilleur développement

Une personne adulte se souvient facilement des berceuses et des mélodies que lui chantaient ses parents lorsqu’elle était petite. Ces chansonnettes ont servi à créer une meilleure relation entre l’enfant et ses parents. En les entendant à l’âge adulte, la personne va se remémorer d’agréables moments de son enfance. En psychologie, cela peut résoudre de nombreux maux, comme aider une personne à déstresser, l’apaiser en cas de trouble psychologique, etc. Par ailleurs, jouer de la musique permet également de développer plusieurs sens et capacités chez une personne, à savoir la créativité, la logique, l’apprentissage, la mémoire, l’intelligence, la motricité du cerveau, etc. Selon les psychologues, un enfant qui prend des cours de musique a plus de facilité à résoudre ses problèmes qu’un enfant basique.

La musicothérapie, en quoi consiste-t-elle ?

La musique possède des vertus thérapeutiques non négligeables. En effet, elle aide à diminuer la pression et les inquiétudes, ce qui explique les chansons qui passent dans les salles pré-anesthésie de certains hôpitaux français. Par ailleurs, selon les spécialistes, la musique agit de façon positive dans la lutte contre l’Alzheimer en permettant aux patients de se remémorer des moments marquants de leur vie. Les observations d’un docteur chinois ont également pu prouver le rôle d’antidouleur que les chansons jouent durant les interventions sans anesthésie telle que la coloscopie. Pour terminer, des mélodies ont été spécialement créées pour aider une personne à avoir de la sérénité et un total contrôle de soi durant une situation difficile (deuil, stress, solitude, etc.). Tel est le cas des musiques de relaxation qui sont même vendues en album par de grandes maisons de production comme Sony Music.

De saines habitudes de vie

On ne le répétera jamais assez, de saines habitudes de vie peuvent vous sauver ! Selon le guide de prévention de l’accident vasculaire cérébral publié par l’American Heart Association, en adoptant de saines habitudes de vie, une personne réduit de 80 % le risque de subir un AVC. Mais de quelles saines habitudes de vie parle-t-on ? Faites un bon choix alimentaire car ce que vous mangez influe sur les facteurs de risque d’AVC. Mangez moins salé, moins sucré et surtout, moins gras. Réduisez votre consommation d’alcool, arrêtez de fumer, purement et simplement. Faites des activités physiques régulièrement, 3 à 4 fois par semaines si vous ne pouvez pas en faire tous les jours. Maintenez un poids de santé et pour cela, faites-vous aider par un nutritionniste.

Ce que vous devez faire pour ne pas subir un AVC

Le stress, un trop grand stress, est un facteur de risque important, aussi, si vous êtes sujet au stress, trouvez le moyen de le réduire, peut-être par des exercices de respiration ou de relaxation. Si vous êtes une femme et que vous prenez des pilules contraceptives, changez de contraceptif car les pilules sont réputées comme à risque. Puis, même si vous êtes en bonne santé (c’est ce que vous pensez, mais on ne sait jamais), alors, consultez votre médecin selon le fréquence qu’il vous recommande.

Les aliments à éviter

Les crises de goutte sont provoquées par la consommation trop importante de certains aliments riche en purines présentes généralement dans les cellules animales. Généralement, les purines sont éliminées par les urines. Mais, chez les personnes souffrant de la goutte, le rein n’arrive plus à filtrer efficacement ce qui provoque une montée excessive d’acide urique dans l’organisme. Cela va entraîner des douleurs inflammatoires. Pour les éviter, on réduit autant que possible de l’alimentation :
– Les plats à base d’abats tels que les rognons, les tripes, les charcuteries, le foie, la cervelle
– Les viandes, vecteurs de protéines, comme le canard, les gibiers et le canard
– Les poissons riches en purine à l’exemple de la sardine, du hareng, de l’anchois, de la carpe et du saumon
– Les aliments trop riches en sucre tels que la confiture et le miel
Toutefois, ces aliments admettent des bienfaits sur la santé, mais tout est question de quantité. Pour ce qui est des boissons, l’alcool et la bière sont à bannir. En revanche, on peut s’autoriser un verre de vin de temps en temps.

Les aliments à privilégier

Pour les personnes souffrant de la goutte, le but est de limiter les apports en purines. Par conséquent, on recommande de boire beaucoup d’eau pour éliminer l’acide urique dans l’organisme. On limite la consommation de boissons gazeuse comme les sodas et les jus en boîte et on privilégie l’eau plate et les boissons telles que le thé, les tisanes et le café.
Par ailleurs, les fruits et légumes frais sont aussi à privilégier. Ce conseil est aussi valable pour les céréales et autres dérivés comme les pâtes et semoules. On conseille aussi d’enrichir l’alimentation en laitage appauvri en graisse. Dans cette optique, les yaourts et le fromage blanc sont à consommer sans modération. Enfin, pour rehausser les plats, il est autorisé d’abuser des herbes, des aromates et des épices.

Quels soins sont proposés par un ostéopathe et un chiropraticien ?

D’abord, il est important de préciser que les praticiens de médecine manuelle comme l’ostéopathe et le chiropraticien ne sont pas considérés comme des médecins ordinaires. Donc, leurs consultations ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale. Néanmoins, certaines mutuelles acceptent de rembourser une partie des dépenses liées à ce genre de consultation en raison de leurs bienfaits incontestables. De plus, la médecine manuelle attire de plus en plus de patients actuellement. L’ostéopathie et la chiropratique permettent notamment de traiter divers troubles chroniques ou aigus tels que la vertèbre déplacée, les maux de tête, le mal de dos, les troubles du sommeil, etc. Ces troubles touchent principalement le système musculosquelettique ou TMS. Ils sont généralement dus par une chute, un accident ou un faux mouvement. Certains troubles concernent le système nerveux comme le stress, les troubles du sommeil et la fatigue. À noter que les deux pratiques, l’ostéopathie et la chiropratique, sont assez semblables, mais il existe tout de même quelques différences situées au niveau de la réalisation du diagnostic. En effet, si l’ostéopathe utilise principalement une approche globale du corps, le chiropraticien se concentre surtout sur certaines parties du corps, dont la colonne vertébrale, les articulations et les muscles. Ainsi, l’ostéopathe peut prendre en charge divers troubles chez un patient, mais le domaine d’activité d’un chiropraticien est limité sur certains troubles, notamment sur le stress aigu, les troubles digestifs, le trouble post-traumatique, etc.

Qu’en est-il du remboursement par la mutuelle ?

Puisque la sécurité sociale n’accorde pas un remboursement des consultations auprès d’un praticien, vous pouvez souscrire à une mutuelle santé qui prend souvent en charge une partie des frais sous certaines conditions. Par exemple, avec la mutuelle Maaf, vous pouvez bénéficier d’un remboursement si vous consultez un praticien qui a au moins 3 ans d’expérience et qui a un diplôme d’écoles homologuées par le Ministère de la Santé. Il existe déjà un annuaire particulier que vous pouvez consulter pour voir les ostéopathes et chiropraticiens compétents qui font partie de la fédération de référence. En consultant l’un de ces praticiens, vous pourrez bénéficier d’une réduction considérable sur les coûts des consultations en fonction des formules que vous choisissez. Il est possible qu’un patient jouisse d’un remboursement de 3 séances de consultation par an.

Un cholestérol élevé

Le cholestérol est une substance grasse présente dans le sang. Trop de «mauvais» cholestérol peut augmenter votre risque de développer une MCV. Il peut provoquer l’accumulation d’athérome à l’intérieur des parois artérielles, empêchant ainsi suffisamment de sang d’atteindre le cœur ou d’autres parties du corps. Si un morceau d’athérome se brise, un caillot sanguin peut se former, bloquant l’approvisionnement en sang du cœur (une crise cardiaque) ou le cerveau (un accident vasculaire cérébral).
Le cholestérol est mesuré en examinant votre cholestérol HDL (bon cholestérol) et votre cholestérol non-HDL (mauvais cholestérol). Le cholestérol non HDL doit être inférieur à 4 mmol / L (millimoles par litre de sang) et votre taux de cholestérol total ne doit pas dépasser 5 mmol / L.
Vous ne pourrez peut-être pas dire que votre taux de cholestérol est élevé. Voilà pourquoi il est vraiment une bonne idée d’avoir un bilan de santé NHS si vous avez plus de 40 ans. Si vous avez déjà reçu un diagnostic de maladie cardiovasculaire, votre taux de cholestérol devrait être vérifié régulièrement de toute façon.
Vous pouvez aider à réduire votre cholestérol en:
-Réduisant les graisses saturées (beurre, fromage, lait entier et viande) que vous mangez.
-Remplaçant les graisses saturées par des graisses insaturées telles que l’huile d’olive, l’huile de colza ou l’huile de tournesol, les poissons gras et les noix.

-Changeant de style de vie, en étant physiquement actif et bien mangé.
-Prendre une statine si votre risque de crise cardiaque ou d’accident vasculaire cérébral est supérieur à un sur dix au cours des dix prochaines années. Les statines aident à réduire votre taux de cholestérol et, à réduire votre risque de crise cardiaque ou d’AVC. Si vous souffrez déjà d’une maladie cardiovasculaire, la prise de statine réduira votre risque d’événements supplémentaires, même si votre taux de cholestérol est faible.

Poids et taille

Le surpoids ou l’obésité augmente votre risque de Maladie Cardio Vasculaire (MCV). Votre indice de masse corporelle (IMC) est un moyen de savoir si vous êtes en surpoids ou obèse. En règle générale, un IMC de 25 ou plus signifie que vous pouvez être en surpoids et un IMC de 30 ou plus est classé comme obèse. L’IMC n’est pas la seule mesure du risque. Avoir trop de poids autour de votre taille augmente le risque de MCV, d’hypertension, de diabète et d’accident vasculaire cérébral. En règle générale, votre santé présente un risque «accru» si vous êtes un homme dont la taille dépasse 94 cm ou une femme dont la taille excède les 80 cm.
Si vous avez un excès de poids ou un tour de taille qui vous met en danger, la perte de poids vous aidera. Apportez de petits changements à long terme, comme réduire la taille des portions et être plus actif physiquement.

Diabète de type 2

Plus de trois millions de personnes en France ont reçu un diagnostic de diabète, mais environ 600 000 personnes pourraient en être atteintes sans s’en rendre compte. Le diabète est une condition dans laquelle la quantité de glucose dans votre sang est trop élevée. Cela augmente votre risque de MCV, en partie parce que des taux de glucose élevés peuvent entraîner des dommages aux vaisseaux sanguins. Si vous souffrez de diabète, il est très important de contrôler votre glycémie, votre tension artérielle et votre cholestérol. Manger sainement, être actif et contrôler son poids aident à gérer ces problèmes et à réduire le risque de développer une MCV.
Le diabète de type 2 est lié à la quantité de graisse dans votre corps. Par conséquent, si vous perdez suffisamment de poids, vous pouvez cesser de ressentir des symptômes, bien qu’ils puissent revenir, surtout si vous reprenez du poids.

Hypertension artérielle

La pression artérielle est la force exercée par le sang contre les parois de votre artère pendant sa circulation dans le corps. Une pression artérielle élevée (hypertension) signifie que votre pression artérielle est égale ou supérieure au niveau recommandé (140 / 90mmHg). Il touche près de 30% des adultes. Le risque augmente à mesure que vous vieillissez. L’hypertension artérielle n’est généralement pas quelque chose que vous pouvez remarquer, mais elle peut endommager les artères, ce qui peut augmenter votre risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. Au fil du temps, s’il n’est pas traité, le cœur peut devenir anormalement gros et son action de pompage sera moins efficace, ce qui pourrait entraîner une insuffisance cardiaque. Si vous avez reçu un diagnostic de MCV, vous devriez faire vérifier votre tension artérielle régulièrement.
Si vous avez été diagnostiqué avec l’hypertension artérielle, il est important de garder un poids santé, réduire le sel et l’alcool, rester actif physiquement et prendre tout médicament prescrit.

Fumer

Si vous fumez, abandonner est la chose la plus importante que vous puissiez faire pour aider votre cœur. Les fumeurs sont presque deux fois plus susceptibles d’avoir une crise cardiaque que ceux qui n’ont jamais fumé. Les produits chimiques contenus dans la fumée de cigarette endommagent les artères, forcent votre cœur à travailler plus fort et rendent le sang plus susceptible de se coaguler (augmentation du risque de crise cardiaque ou d’AVC). Le risque pour votre santé commence à baisser peu après votre abandon, il n’est donc jamais trop tard. Il existe différentes techniques pouvant être sollicitées pour arrêter de fumer. Commencez par jeter tous vos tabacs, briquets et cendriers. Obtenez également de l’aide et dites à votre famille et à vos amis que vous arrêtez de fumer. Certaines personnes trouvent qu’il peut être utile de parler à des amis et à des parents qui se sont arrêtés. Vous pouvez également parler à votre médecin, à votre infirmière, à votre pharmacien ou à des organisations spécialisées pour savoir quelle assistance est à votre disposition.

La goyave : pour réduire la glycémie

Consommer du sucre est à déconseiller pour les personnes souffrant de diabète. Cela va augmenter le taux de glycémie présent dans l’organisme. Ainsi, nombreux sont les diabétiques qui se retiennent à ne pas manger de fruits. Cependant, avec la goyave, ils peuvent être tranquilles. En effet, le sucre contenu dans ce fruit est facile à métaboliser. De plus, ses composants aident l’organisme à combattre les pics de glucose présent dans le sang. Ainsi, on recommande aux personnes souffrant de diabète de boire 90 ml de jus de goyave idéalement non sucré par jour pour diminuer le taux de sucre dans leur sang sans augmenter la production d’insuline. Boire régulière une infusion de feuilles de goyave aide naturellement à réguler le taux de cholestérol. Pour ce faire, on trempe quelques feuilles séchées ou fraîches de goyavier dans une casserole. On laisse infuser pendant 5 minutes puis on le refroidit avant de le boire.

La goyave : pour perdre du poids

Nombreux sont les Français qui présentent des problèmes de surpoids. Pour éliminer l’excédent de kilos, recourir à un régime alimentaire drastique figure parmi les solutions les plus populaires. La goyave constitue un allié de taille. En effet, riche en fibres, en vitamines et en sels minéraux, la goyave est un coupe-faim particulièrement efficace. Ainsi, elle aide à perdre du poids. Aussi, boire du jus de goyave est adapter à ceux qui désirent perdre du poids. Pour améliorer son goût, on peut ajouter du lait, un peu de vanille, un peu de miel et même un peu de noix de muscade.

La goyave : pour renforcer les os

La goyave est riche en phosphore et en calcium. Dans ce sens, consommer une quantité suffisante et régulière de goyaves permet de renforcer les os et les dents. Mastiquer 3 à 4 feuilles de goyave en cas de maux de dents permet de stopper la douleur. Cependant, on ne doit pas les avaler puisqu’elles ont un goût particulièrement mauvais. Par ailleurs, grâce à son apport en calcium, la goyave protège aussi les os contre la perte de densité osseuse. Dans ce sens, elle est fortement conseillée pour les femmes en pré-ménopause.